esse que éditions




PRESSE


 







Le Signal du promeneur Rumeur et petits jours Une Cérémonie



Le signal du promeneur a reçu les prix suivants : Prix Odéon-Télérama – Festival Impatience 2012, jeune création européenne / Prix du public – Festival Impatience 2012, jeune création européenne / Prix de la critique francophone belge 2012, meilleure découverte / Prix Festival Kicks 2012 l’Ancre Charleroi, meilleur spectacle

Une cérémonie / Libération / Guillaume Tion / novembre 2020. « A la Semaine d’art d’Avignon, la veille du second confinement, la troupe belge a présenté sa nouvelle et géniale création, «Une cérémonie». Un spectacle a priori foutraque qui incite discrètement le public à la contestation et au refus de laisser l’avenir se faire sans lui. »






En Addicto



TTT « Un monologue saisissant. Avec une chaise pour tout accessoire, Thomas Quillardet fait se questionner une trentaine de patients et de soignants. Trente voix dans la sienne. En évitant l’aspect documentaire, platement réaliste, son monologue devient une polyphonie où les singularités des intervenants se marquent juste par le rythme. Travail musical où la seule générosité d’une interprétation sans effet rend vivante la douleur du sevrage, et bientôt nos douleurs tout court. En Quillardet résonnent des timbres qu’on n’écoute pas, qu’on n’entend plus. Et les urgences d’un hôpital public lui aussi en souffrance. C’est merveille et tragédie, soudain, de les entendre.» Fabienne Pascaud TELERAMA

« Il est seul. Mais il est plusieurs. Il passe, avec une souplesse de virtuose, des paroles des différents « personnages » qu’il évoque, hommes, femmes, patients, personnel médical … Leurs récits, leurs aveux, leurs refus parfois d’accepter la réalité de leur dépendance, sont cocasses parfois, bouleversants, souvent. Ce qui était sans doute le plus difficile était de donner forme à cet ensemble. Et en respectant le secret médical. Thomas Quillardet a composé, recomposé, transformé. Mais en conservant la vérité des êtres, dans leurs francs désarrois, dans leurs esquives. L’interprète parvient à nous émouvoir, à nous faire rire, à nous serrer le cœur, sans bouger de sa chaise – quasiment. Et sans cesser de s’adresser directement aux spectateurs, saisis. C’est un remarquable travail. Du théâtre très particulier qui prend son sens profond, sans démonstration. Par le seul talent d’un artiste empathique, intelligent, sensible. » Armelle Héliot MARIANNE

« Un spectacle solo mais peuplé de plusieurs voix dont il est impossible de décrocherLa grande réussite de Thomas Quillardet, sa présence captivante et démultipliée, tient à la manière dont il convoque tout un petit monde, montre les liens et les sentiments, fait parler soignants et patients, sans jamais se substituer à eux. Autrement dit, il n’a pas besoin de recourir au mime, ou de créer des personnages fictifs et factices pour faire entendre une foule de voix, rendre tangible un espace et l’essence d’une maladie, «pathologie de l’abandon» expose une psychiatre. Il y a une vulnérabilité dans cette manière de se présenter seul sur un plateau. Mais surtout un art d’équilibriste dans cette manière d’opérer par glissements successifs, sans jamais surligner l’identité toujours provisoire du narrateur. » Anne Diatkine LIBERATION

« En prenant la précarité comme une forme, et pas comme un sujet, Thomas Quillardet parvient à montrer juste dans la voix,  dans quelque chose qui ressemble dans le fond à de la musique, la violence sociale, la diversité des parcours, et surtout, la dynamique qui intéresse véritablement tout documentaire : le rapport compliqué, épuisant, entre l’institution et l’individu. Thomas Quillardet, en transformant un travail d’observation en une sorte de fugue musicale, hyper artificielle, paradoxalement fait advenir tout seul sur le plateau nu des images multiples et vraies. » Lucile Commeaux . LE REGARD CULTUREL . FRANCE CULTURE

« Dans un monologue simple, dense et très touchant, Thomas Quillardet fait bruisser un service d’addictologie des paroles des patients et des soignants qui le traversent. Passionnant.» Eric Demey LA TERRASSE

« Entre lutte sans répit et phrases du quotidien, confessions touchantes et comique involontaire, Thomas Quillardet fait avant tout preuve de tact, de respect et d’une grande pudeur. Intellectuellement salvateur, ce parti-pris sensible accouche d’un objet théâtral hors des sentiers battus, où le metteur en scène-comédien, qui n’était pas remonté sur un plateau depuis plus de vingt ans, se détache de toute tentative d’incarnation.» Vincent Bouquet . SCENEWEB

«  Né d’une observation documentaire, nourri par le sensible, le monologue qu’il porte sur le plateau est un flux de paroles puisées dans le vivant. Elles se croisent et se percutent dans un rythme serré au plus près. » Joëlle Gayot . LE MONDE






Les Méritants








L la nuit








Scènes de violences conjugales








Le Dernier Voyage (AQUARIUS)








Manitoba








Nageuse de l'extrême Une jeune femme givrée



L’Oeil d’Olivier, portrait d’Élise Vigier : « Pour sa première pièce en tant qu’autrice, la comédienne et metteuse en scène tisse le récit commun de deux parcours, de deux femmes et de deux corps face à leurs limites. » 
 

RFI, De Vive(s) Voix : « Elise Vigier s’interroge sur les limites du corps dans « Nageuse de l’extrême » »


Télérama : « immersion bouleversante dans le combat de deux jeunes femmes »


Cultnews : « le corps est exposé fragile, faible ou fort, victorieux mais faillible. […] Aucune trace de drame ne se glisse dans ces vies, on ressent juste la vérité d’une étape au cours de laquelle il ne faut pas se perdre de vue. Dans la salle, tout est étrangement calme. »


Médiapart : « À la fin la nageuse et la femme dansent ensemble. Le soir de la première Marion Joffle a rejoint les deux interprètes, ensemble, elles ont improvisé une danse des poissons. Un bain d’amicalité. »


La Terrasse, critique : « Ces mots d’une précision et d’une exigence à couper le souffle font cause commune avec le témoignage de Marion Joffle, dont Léna Bokobza-Brunet s’empare avec une justesse qui se passe d’esbroufe. […] La sororité qu’elles convoquent est très touchante. En pleine complicité, les deux artistes trouvent l’équilibre d’un geste théâtral à la fois simple et risqué. C’est la vie qui gagne, ici, soutenue par des percées d’humour, des envolées de résilience. »


L’Oeil d’Olivier : « Sans jamais s’apitoyer sur son sort ni sur les états d’âme de Marion Joffle, elle signe une œuvre rare, touchante, profondément humaine. Au-delà de deux intimités qui s’entrechoquent, Nageuse de l’extrême – portrait d’une femme givrée, donne à voir deux natures, deux combattantes, l’une du quotidien, l’autre de l’extraordinaire. Deux belles leçons de vie ! » 


Le Point : « Ces deux histoires se font écho par bien des aspects : elles décrivent en effet le combat de deux femmes pour garder la tête hors de l’eau, évoquent des corps-à-corps épuisants contre les éléments et décrivent finement ce miracle de l’existence : la possibilité de vivre longtemps en apnée. »


Le Journal d’Armelle Héliot : « Avec tact, et une intelligence dramaturgique profonde, Elise Vigier tresse la vie de deux femmes.  […] En à peine plus d’une heure, du vrai grand théâtre, qui éclaire et émeut, fait réfléchir et comble. »


La Terrasse, portrait : « En duo avec la comédienne Léna Bokobza-Brunet, Elise Vigier crée Nageuse de l’extrême – Portrait d’une jeune femme givrée. Un texte sur les combats de deux femmes (contre la maladie, contre des conditions de nage extrêmes) »


Sportmag : « Sur scène, Elise Vigier est en duo avec la comédienne Léna Bokobza-Brunet. “Nageuse de l’extrême – Portrait d’une jeune femme givrée” est un texte sur les combats de deux femmes, contre la maladie et contre des conditions de nage extrêmes. Elles se découvrent dans leurs histoires et dans cette joie féroce de se sentir vivantes. »


Que Faire à Paris : « Vous allez aimer… cette traversée des sentiments qui embarque dans deux aventures bouleversantes de ressemblances. »


Je n’ai qu’une vie : « La justesse de Nageuse de l’Extrême, c’est d’aller au delà des combats, au delà du cri. De montrer ce monde qui n’est accessible qu’à ceux qui sont revenus d’au delà de leurs limites. »


ManiThea : « Deux voix pour deux histoires qui se croisent, se répondent et se rejoignent. Les comédiennes, chacune avec son style propre — l’enthousiasme de Léna Bokobza-Brunet et le ton plus posée et énigmatique d’Élise Vigier — offrent une vision touchante de la force humaine face à la douleur. « 


Sport à Caen : « Avec Nageuse de l’extrême, l’histoire de Marion Joffle portée au théâtre »








Paying for it








Marilyn, ma Grand-mère et moi








Notre histoire








Jubiler








Philip K. ou la fille aux cheveux noirs








Le Marché








Hamlet








Layla








L'Immobile








Projet Luciole








Regardez mais
ne touchez pas !








Striptease par
la traversée



« Trois spectacles ont été vus en ouverture de l’événement Trans 09 au Théâtre de la Bastille. Le plus frappant, c’est Striptease, dont Cédric Orain signe le texte et la mise en scène et qu’interprète Céline Milliat-Baumgartner (...) Il y a surtout que Striptease constitue un chaleureux hommage à toutes celles qui, depuis la Belle Epoque, comme on dit, jouent leur corps sous toutes ses faces à qui perd gagne, tout honte bue dans l’exhibition.»  Jean-Pierre Léonardini, L’Humanité
 

« Cette revue de détail, avec son truc en plumes, ses talons aiguilles et sa belle dose d’humour, parcourt les arcanes du strip avec délicatesse (...) Si l’effeuillage est intégral, il ne se départ jamais de cette très touchante pudeur qui fait le charme d’une exhibition.» Patrick Sourd, Les Inrockuptibles

 

« Striptease est aussi une comédie. Et un exquis feuilletage d’effeuillages. A la fois une brève histoire, une anthologie voire une anthropologie du strip-tease. Raconté par une actrice qui sait nous surprendre au bord du geste éculé.» Jean-Pierre Thibaudat, Rue89

Toute la presse
Théâtrorama / 2011
L’Humanité / Muriel Steinmetz / 2010
Mediapart / 2010
Theatrorama / 2010
Froggy’s delight / 2010
Les trois coups / 2010
Rue 89 / Jean-Pierre Thibaudat / 2009
Un soir ou un autre / 2009
Les Inrockuptibles / Patrick Sourd / 2009
L'Humanité / Jean-Pierre Léonardini / 2009
Le Monde / Rosita Boisseau / Juin2009






Esse que quelqu’un
sait où on peut baiser
ce soir ? J’ai répondu
au bois



Article de Bruno Tackels dans Mouvement

« Le théâtre d’Eric Da Silva ne fait pas les choses à moitié. Dans ses pièces, la violence dégorge à fleur de peaux coupées, lacérées, morcelées, dépecées, défoncées, empoisonnées, shootées. Jusqu’au délire absolu que seul le théâtre peut faire voir.»

 

Article de René Solis dans Libération juillet 2010

« Le bois d’Eric Da Silva est le lieu d’une orgie verbale et sexuelle, un carnaval où corps, images, émotions et mots ne sont pas synchrones ; un endroit où il est impossible de ne pas se perdre et d’où Eric Da Silva n’arrête pas d’envoyer des messages.»

 

Article de Marie-José Sirach dans L’Humanité juillet 2010

« Pour aborder tout ça (l’identité, la marge, la pornographie) avec autant d’audace, il fallait le théâtre vertigineux, tourmenté et obstiné d’Eric Da Silva. »


Mouvement / Bruno Tackels /  Octobre 2010
Libération / René Solis / Juillet 2010 
L’Humanité / Marie-José Sirach / juillet 2010
Les trois coups / Anaïs Heluin / Juillet 2010
Sud Ouest / Antoine de Baecque / Novembre 2010






Voyage en Ataxie



« Entouré de comédiens amis, l’acteur Gilles Ostrowsky, atteint d’une maladie qui l’entrave chaque jour un peu plus, raconte dans Voyage en ataxie et met en scène (avec Sophie Cusset) son chemin de croix pas seulement médical. Pathétique ? Non, magnifiquement drôle… » JP Thibaudat
« La pièce à la scénographie chaste empoigne son spectateur sans respiration sauf les rires. On ne ressort pas indemne de cette pièce d’exception. » toute la culture
« Voyage en Ataxie, un cauchemar éveillé et lumineux, où le rire et l’émotion, l’absurde et le tragique, le vrai et le faux se mêlent allègrement… Les semaines, qu’on devine exaltantes, de répétitions ont permis au trio de briser tous les murs, d’annihiler le pathos sans verser dans le cynisme, d’oser l’humour sans se réfugier dans la légèreté. » scene web
Gilles Ostrowsky, clown malgré lui / Sceneweb / Vincent Bouquet / mai 2023






Victoria K., Delphine Seyrig et moi ou la petite chaise jaune








Voix suivi de Ysteria



Voix, Texte et mise en scène de Gérard Watkins / Théâtre du blog / Mireille Davidovici / mai 2023
Voix, cris et murmures dans la tête / La Croix / Laurence Péan / mai 2023
Gérard Watkins est l'invité d'Affaires culturelles / France Culture / Marie Sorbier / mai 2023
Le théâtre de Gérard Watkins, un monde fait de "Voix" / De vive(s) voix / RFI / Lucie Bouteloup / mai 2023
La réalité de l'irreprésentable, un écartèlement entre le visible et l'invisible / Arts-chipels / Sarah Franck / mai 2023
Voix de Gérard Watkins, un chef d'oeuvre d'humanité / Toute la culture / David Rofé Sarfati / mai 2023
Voix / Un fauteuil pour l'orchestre / Denis Sanglard / mai 2023

Ysteria
"L'auteur-metteur en scène et ses acteurs mettent le spectateur sous hypnos, avec une plongée documentée et poignante dans l'univers de l'hystérie." Telerama / Emmanuelle Bouchez / avril 2019