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Nageuse de l'extrême
Portrait d'une jeune femme givrée

Elise Vigier

I.S.B.N 979-10-94086-95-7
parution 5 septembre 2024
64 pages
photographie de couverture Victor Tonelli
10 €



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Nageuse de l’extrême est le combat de deux femmes qui ont en commun l’expérience du corps fragilisé, diminué, transformé et « augmenté » par l’endurance extrême. D‘un côté, une jeune sportive, Marion Joffle, qui a traversé la Manche, maintenant nageuse en eau glacée. De l’autre, une femme plus âgée, qui défie la maladie dans les couloirs d’hôpitaux. Sur scène, ces deux fictions/réalités se croisent dans une salle d’attente qui deviendra piscine ou océan. Toutes les deux racontent leur aventure : les apnées, les incertitudes, le comique des situations, le frottement avec l’absurde… Que ce soit dans la performance ou la souffrance, elles parlent d’un corps qu’elles ne contrôlent plus, transformé, amoindri, devenu étranger… Elles se découvrent dans leurs histoires et dans cette joie féroce de se sentir vivantes.

Pièce écrite pour 2 comédiennes






Revue de presse :

L’Oeil d’Olivier, portrait d’Élise Vigier : « Pour sa première pièce en tant qu’autrice, la comédienne et metteuse en scène tisse le récit commun de deux parcours, de deux femmes et de deux corps face à leurs limites. » 
 

RFI, De Vive(s) Voix : « Elise Vigier s’interroge sur les limites du corps dans « Nageuse de l’extrême » »


Télérama : « immersion bouleversante dans le combat de deux jeunes femmes »


Cultnews : « le corps est exposé fragile, faible ou fort, victorieux mais faillible. […] Aucune trace de drame ne se glisse dans ces vies, on ressent juste la vérité d’une étape au cours de laquelle il ne faut pas se perdre de vue. Dans la salle, tout est étrangement calme. »


Médiapart : « À la fin la nageuse et la femme dansent ensemble. Le soir de la première Marion Joffle a rejoint les deux interprètes, ensemble, elles ont improvisé une danse des poissons. Un bain d’amicalité. »


La Terrasse, critique : « Ces mots d’une précision et d’une exigence à couper le souffle font cause commune avec le témoignage de Marion Joffle, dont Léna Bokobza-Brunet s’empare avec une justesse qui se passe d’esbroufe. […] La sororité qu’elles convoquent est très touchante. En pleine complicité, les deux artistes trouvent l’équilibre d’un geste théâtral à la fois simple et risqué. C’est la vie qui gagne, ici, soutenue par des percées d’humour, des envolées de résilience. »


L’Oeil d’Olivier : « Sans jamais s’apitoyer sur son sort ni sur les états d’âme de Marion Joffle, elle signe une œuvre rare, touchante, profondément humaine. Au-delà de deux intimités qui s’entrechoquent, Nageuse de l’extrême – portrait d’une femme givrée, donne à voir deux natures, deux combattantes, l’une du quotidien, l’autre de l’extraordinaire. Deux belles leçons de vie ! » 


Le Point : « Ces deux histoires se font écho par bien des aspects : elles décrivent en effet le combat de deux femmes pour garder la tête hors de l’eau, évoquent des corps-à-corps épuisants contre les éléments et décrivent finement ce miracle de l’existence : la possibilité de vivre longtemps en apnée. »


Le Journal d’Armelle Héliot : « Avec tact, et une intelligence dramaturgique profonde, Elise Vigier tresse la vie de deux femmes.  […] En à peine plus d’une heure, du vrai grand théâtre, qui éclaire et émeut, fait réfléchir et comble. »


La Terrasse, portrait : « En duo avec la comédienne Léna Bokobza-Brunet, Elise Vigier crée Nageuse de l’extrême – Portrait d’une jeune femme givrée. Un texte sur les combats de deux femmes (contre la maladie, contre des conditions de nage extrêmes) »


Sportmag : « Sur scène, Elise Vigier est en duo avec la comédienne Léna Bokobza-Brunet. “Nageuse de l’extrême – Portrait d’une jeune femme givrée” est un texte sur les combats de deux femmes, contre la maladie et contre des conditions de nage extrêmes. Elles se découvrent dans leurs histoires et dans cette joie féroce de se sentir vivantes. »


Que Faire à Paris : « Vous allez aimer… cette traversée des sentiments qui embarque dans deux aventures bouleversantes de ressemblances. »


Je n’ai qu’une vie : « La justesse de Nageuse de l’Extrême, c’est d’aller au delà des combats, au delà du cri. De montrer ce monde qui n’est accessible qu’à ceux qui sont revenus d’au delà de leurs limites. »


ManiThea : « Deux voix pour deux histoires qui se croisent, se répondent et se rejoignent. Les comédiennes, chacune avec son style propre — l’enthousiasme de Léna Bokobza-Brunet et le ton plus posée et énigmatique d’Élise Vigier — offrent une vision touchante de la force humaine face à la douleur. « 


Sport à Caen : « Avec Nageuse de l’extrême, l’histoire de Marion Joffle portée au théâtre »