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Le Signal du promeneur Rumeur et petits jours Une Cérémonie

Raoul collectif

I.S.B.N 979-10-94086-82-7
parution 1 février 2024
168 pages
photographie de couverture Céline Chariot
15 €



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Le Signal du promeneur tente de faire la lumière sur le prix que paie l’individu qui renonce trop longtemps à rompre avec un cadre sociétal qui le fait souffrir. Par bribes et mises en situations issues de faits réels et littéraires, des « promeneurs » se retrouvent dans une clairière et tentent d’y faire advenir une métamorphose.

Rumeur et petits jours réunit des chroniqueurs à la table d’une émission radiophonique inspirée des années soixante-dix. À l’annonce de la privatisation de l’antenne, leur projet, leur amitié, ainsi que leur idéal communautaire sont mis au défi par les nouveaux préceptes de l’idéologie libérale. Il y est question de fable animale, de l’acronyme T.I.N.A, d’un désert mexicain et de résistance.

Une Cérémonie a été créé aux confins d’une pandémie mondiale. C’est une longue fête, vécue comme un rituel au sein duquel un groupe d’ami·e·s aux consciences altérées par l’alcool, la musique et autres magies, porte des toasts et rejoue des mythes fondateurs. Le petit groupe d’ami·e·s tente ainsi de révéler l’objet de sa cérémonie, qui est peut-être une tragédie à laquelle il tente de réchapper.

Le Raoul collectif inscrit son geste au sein d’un théâtre mettant en avant les joies de la libération. Leurs œuvres témoignent d’une aventure collective qui reflète le réel et tente de s’y confronter.






Revue de presse :

Le signal du promeneur a reçu les prix suivants : Prix Odéon-Télérama – Festival Impatience 2012, jeune création européenne / Prix du public – Festival Impatience 2012, jeune création européenne / Prix de la critique francophone belge 2012, meilleure découverte / Prix Festival Kicks 2012 l’Ancre Charleroi, meilleur spectacle

Une cérémonie / Libération / Guillaume Tion / novembre 2020. « A la Semaine d’art d’Avignon, la veille du second confinement, la troupe belge a présenté sa nouvelle et géniale création, «Une cérémonie». Un spectacle a priori foutraque qui incite discrètement le public à la contestation et au refus de laisser l’avenir se faire sans lui. »